Honoré de Balzac – Le Père Goriot

Vers la fin de la troisième année, le père Goriot (réduire) encore ses dépenses, en montant au troisième étage et en se mettant à quarante-cinq francs de pension par mois. Il (se passer) de tabac, (congédier) son perruquier et ne (mettre) plus de poudre. Quand le père Goriot (paraitre) pour la première fois sans être poudré, son hôtesse (laisser) échapper une exclamation de surprise en apercevant la couleur de ses cheveux, ils (être) d'un gris sale et verdâtre. Sa physionomie, que des chagrins secrets avaient insensiblement rendue plus triste de jour en jour, (sembler) la plus désolée de toutes celles qui (garnir) la table. Il n'y (avoir) alors plus aucun doute. Le père Goriot (être) un vieux libertin dont les yeux n'avaient été préservés de la maligne influence des remèdes nécessités par ses maladies que par l'habileté d'un médecin. La couleur dégoûtante de ses cheveux (provenir) de ses excès et des drogues qu'il avait prises pour les continuer.