Les forts de l'Esseillon

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Présentateur : maintenant, cette semaine, nous vous emmenons à la découverte des plus beaux châteaux de France. Aujourd’hui, direction la vallée de la Maurienne, en Savoie, dans les forts de l’Esseillon. Édifiés en 1820, ils étaient à l’origine un et une ligne de défense contre une éventuelle française. C’est un reportage de Denis Sébastien et de Philippe Ébec.

Reporter : accrochés à un rocheux, ils dominent et la vallée à leurs pieds. Les forts de l’Esseillon, un ensemble de militaires réputé imprenable, inaccessible. Aujourd’hui, on peut partir à l’assaut, sans armes, mais avec tout un équipement : casque, baudrier, cordes. C’est parti pour une visite hors des battus.

Guide : allez ! À toi, grande fille ! Ben, vous avez vu, on est sorti par la bouche à canons.

Reporter : entre escalade et visite patrimoniale. Encadré par un guide de montagne, on parcourt des vias ferratas qui les forts.

La touriste : ah ! C’est super joli en tous les cas. Et ça fait des petites émotions, mais c’est très très agréable en fait.

Reporter : ils ont été construits il y a 200 ans par le de Sardaigne pour se protéger d’éventuelles invasions françaises, mais ils ne connaitront jamais aucun combat. En 1860, plus de raison de se défendre contre la France, la Savoie est .

Guide : c’était d’abord un défensif, c’était pas un outil ludique là. C’est nous qui avons rajouté ça dans les années 85-90 en profitant des et en alliant les falaises et le fort pour faire des vias ferratas.

Garde tes bras comme ça, tout droits, tout droits, tes bras. Non, non, ah non, allonge-les, allonge-les ! Voilà, comme ça ! Et puis, tu avances.

Reporter : itinéraires en tout, pour tous les niveaux, tous les âges, entre rochers et vieilles pierres.

La touriste : on le voit , vous le voyez par en dessous, vraiment au bord, c’est pas du tout la même dimension.

Le touriste : c’est vrai qu’on les a toujours, soit ceux de la rive gauche, soit rive droite, on les a toujours en ligne de , et c’est vraiment magnifique.

Reporter : par les fenêtres, les bouches à canon ou plus classique, par le , les forts sont en accès libre. Qu’ils soient adeptes d’escalade ou pas, les visiteurs s’y croisent comme dans un labyrinthe. Ils déambulent dans les bâtiments où vivaient jusqu’à 1500 soldats.